Au cœur de la Vallée des glaces, une cordée de deux chiens (Moïra, Zéphyr), une femme (Ysé) et trois hommes (Gaspard, Solal et Vik) affronte une tempête de neige pour rejoindre le Reculoir, l’ultime hameau avant le Bord du monde, cette gigantesque montagne dont nul n’a pu voir le sommet. Initialement dépêchée pour une mission de routine, l’équipée découvre que son chef a un autre dessein. Embrasé par le prêche du père Salomon, un mystique abreuvé de brûle-gorge qui dit connaître le moyen de s’élever jusqu’au sommet de la montagne, Gaspard a en effet décidé de tenter la grande Ascension, au risque de mettre en danger ses compagnons. Fraîchement recruté, le jeune Solal devra suivre son mentor dans sa quête d’absolu ou écrire son propre destin.
"Une cordée composée de chiens, d'alpinistes aventuriers et d'un jeune débutant, est chargée de répondre aux urgences dans une vallée où chaque village est isolé pendant l'hiver par la neige. La neige, silencieuse, froide, donne le ton : ce roman sera introspectif. Bravant les dangers, notamment les crevasses et le froid, ces héros comprennent que leur chef, Gaspard, a une autre ambition que l'intérêt général : il veut vaincre la "Grande", cette montagne verticale qui marque le fond de la vallée et dont personne n'a réussi à connaître la hauteur. Ce roman est méditatif, allégorique, poétique, envoûtant, réhaussé d'une petite part de fantastique. Son écriture, pourtant légère, retranscrit admirablement l'atmosphère pesante de la rudesse hivernale des montagnes. Une réflexion sur l'inaccessible, le rêve, le défi, la vie et la mort."
XAVIER B.
"Un magnifique récit très riche et sensible qui ressemble à une quête de l'impossible, la recherche d'une forme d'absolu, d'idéal utopique, de soi-même aussi."
MARION B.
"Un récit renversant, une quête spirituelle et un conte initiatique flirtant avec le fantastique. Ce livre vous plonge dans une introspection profonde. Ce premier roman est un véritable coup de cœur. J'attends avec impatience la sortie de son prochain ouvrage, À paraître le 30 août : « Le chant des pentes »."
ANNE F.
"Pas très convaincu, je vote pour "le moins pire", plus par élimination que par conviction. Ce roman pourrait être beau mais glisse toujours plus vers un amas de pseudo-philosophie et de tournures mystiques, pas très bien tournées. Strega est plat et sans intrigue, ni intérêt. Quant à ce pavé de 1200 pages, trop descriptif, trop wikipédiatesque, je n'ai jamais pu le finir - il rejoint le désintérêt que j'ai éprouvé pour Toíbín Colm dans Le Magicien, dont la seule magie a été de faire arrêter ma lecture au bout de 30 pages seulement (c'est rare pourtant)."
KEVIN D.
"Un roman initiatique d'une quête vers l'inaccessible envie de parvenir au sommet au sens propre comme au sens figuré. Lorsque l'on referme ce premier roman le lecteur conserve un sentiment de régénération et de contemplation qui parvient à nous libérer de notre quotidien. Roman à découvrir pour les amoureux de la montagne et des réflexions philosophiques."
DAVID B.
"Un condensé de poésie et une ode au dépassement de soi. Je me suis pris au jeu de cette terrible ascension. Le livre est court mais puissant, le style impeccable et j’ai adoré les clins d’œil au cultissime livre "la horde des contrevents" que j’avais adoré. Dans une atmosphère tout aussi hostile et mystérieuse comme ce dernier. Une très chouette découverte"
BENOIT P.
"C'est mon dernier coup de coeur pour ce prix des lecteurs. J'ai adoré l'écriture de Simon Parcot et l'univers de ce livre. Il y a une quête de soi et j'aime aussi l'idée qu'un livre nous questionne aussi. C'est le cas avec "Le bord du monde"."
DAVID L.
"Belle découverte. Comment réunir l'écriture, l'aventure, les humains, le sens de la vie, l'attrait de la mort, le ciel et le mystère de nos limites? Déjà le titre nous attire dans des bordures, dans une zone à risques, dans l'univers vertical de la montagne. Au fil des mots, la cordée avance. On a peur. On a chaud. On sent la soupe et l'alcool fort. Ce livre est un corridor, un exhausteur d'émotions, une voie ouverte."
PHILIPPE M.
"Un nouveau roman se passant en altitude tout en traitant des questions du désir et de la mort. Un roman vertigineux aux frontières du réel qui ne laissera pas insensible."
TRISTAN M.
"Vote par défaut : Strega étant pompeux, sans intérêt et hors sol; Faire éclater la terre (dont le titre en anglais est 'Deep River', ce qui laisse songeur sur la liberté de traduction) veut raconter trop de choses et me donne l'impression que l'auteur cherche juste à impressionner sur sa faculté d'écrire (comme tout auteur de pavé et de sagas, qui d'ailleurs n'apportent plus rien depuis longtemps.)"
GAUTIER H.
"Superbe ascension qui ne redescend jamais ..."
CELINE L.
"Étonnant ouvrage, fort et symbolique, évoluant dans une vallée enfoncée et glacée, une cordée pas comme les autres emporte officiellement de quoi réparer des poteaux électriques. Le fond de l'histoire dépeint avec brio la quête mystique d'un grimpeur à la poursuite de son saint Graal, le sommet de la Grande montagne énigmatique dont personne ne connaît la hauteur. Aux frontières de ce hameau perdu, se trouve la vérité des êtres, la forêt pleine d'émotions enfouie dans l'épaisseur de leurs tripes, sous l'épiderme. Un voyage dont on ne revient plus. Incroyable."
ALEXIS V.
"Magistral et inoubliable"
PASCAL G.
"L'ivresse des sommets, la quête de l'impossible...entre poésie et fantastique, entre folie et oubli le monde est vertical. Et dans ce cas plus dure est la chute !"
FREDERIC S.
"Un récit initiatique poétique et philosophique qui se déroule dans un environnement montagneux. Une très belle qualité d'écriture une description des paysages de toute beauté et une réflexion sur le dépassement de soi ce roman explore également les thèmes de l'amitié de l'amour et de la nature humaine c'est un livre à recommander."
YANN P.
"« un roman, ou plutôt un voyage, qui nous transporte au cœur d’une expédition aux tonalités allégoriques. Tantôt périlleux et impétueux, tantôt humain ce livre commence dans un nuage, loin du vertige de cette vallée. L’écriture si poétique nous saisit dès les premières lignes. L’auteur nous offre une bouffée d’air frais qui, pourtant nous tient en apnée. On regrette seulement que ce voyage soit si court »"
JEAN-BAPTISTE C.
"Le bord du monde est vertical est un premier roman qui nous emmène auprès d'une cordée dans un univers montagneux. Face à eux, la Grande, une montagne dont on ne voit le sommet qui disparaît dans le ciel. Peu se targue d'avoir réussi à la gravir, c'est d'ailleurs un des défis du dernier de Cordée, Gaspard. Il est entouré par Ysé à l'avant de la Cordée qui commande aux chiens, Moïra et Zéphyr, Solal dit le Gamin qui n'en est qu'à sa première expérience, et enfin Vik, qui soulèverait des montagnes. Par ce temps, chacun serait mieux au chaud, mais Gaspard s'est laissé tenter par le Père Salomon. Officiellement, ils sont dépêchés pour remettre le courant au vieux bonhomme, une mission périlleuse au vue de la météo peu clémente. Mais en vérité, Gaspard aurait enfin la clef pour aller jusqu'au sommet de la montagne et tenter la Grande Ascension. Dans son sillage, il entraîne le jeune Solal qui va devoir résister aux fantômes des Tombés. Le bord du monde est vertical est à mi-chemin entre le roman sur la montagne et le conte initiatique. Poétique, il n'en reste pas moins une quête spirituelle où le fantastique s'invite lors de la lecture. Une belle traversée qui mérite plusieurs niveaux de lecture pour souligner toutes les subtilités de la plume de Simon Parcot. Un roman puissant !"
JILLIAN B.
"Dépassant le récit d'alpinisme, "Le Bord du monde est vertical" s'offre au lecteur entre récit allégorique et conte philosophique évoquant la quête d'absolu et d'une certaine transcendance. Les décors de montagne, de neige et de glace, sous de grands ciels blancs ou étoilés, sont superbement écrits, dans une prose poétique envoûtante. Un premier roman étonnant et séduisant."
CHRISTINE E.
"Un huis-clos glaçant en pleine montagne. Et un personnage central, la Grande : un sommet jamais atteint, toujours vierge de la présence des hommes, protégé par une paroi à la verticale. Dans la vallée des Glaces, la « Cordée » se met en route pour réparer une ligne électrique au Reculoir, dernier refuge avant la Grande. « La Cordée, c'est deux chiens, une femme et trois hommes : Zéphyr, Moïra, Ysé, Vik, Gaspard et Solal ; six silhouettes qui tentent de se frayer un passage dans les endroits les plus escarpés de la vallée, qu'il neige, qu'il vente ou qu'il glace. C'est un vaisseau précaire, une avant-garde d'humanité en ces territoires lunaires à laquelle les habitants font appel pour effectuer les besognes quotidiennes - qui se transforment vite, à cette altitude, en de périlleuses aventures. » Les conditions sont dures : tempête, vent et neige. Tous craignent que Gaspard poursuive la montée jusqu’au bout. Et peut-être même au-delà, vers la Grande qui l’aimante et l’attire irrésistiblement. Dans cette ascension impossible, Gaspard embarque Solal. Un jeune homme épris des plaisirs de la vie, en contraste avec les aspirations métaphysiques de Gaspard. Et pourtant, ils se comprennent intuitivement. Si on aime les réflexions sur le sens de la vie, de la mort, la recherche de l’absolu, la nature sauvage, on apprécie infiniment ce roman percutant. Sinon…. Heureusement je fais partie de la première catégorie. J’ai aimé cette belle image entre homme et montagne : se vaincre soi-même pour ensuite vaincre la paroi de la Grande. « Si on le suit, gravir la Grande, ce serait nous gravir nous-même, aller chercher en nous-même, par-delà les illusions, les traumas et les peurs, notre vérité et notre essence. (…) si le sommet de la Grande est la métaphore de notre quête intérieure, alors son sommet représenterait l’accomplissement définitif de cette quête, c'est-à-dire, selon mon interprétation, quelque chose comme « la perfection », la « libération », le « paradis », « l’éternité » ! » Simon Parcot est écrivain et philosophe, amoureux de la montagne. Un beau moment de lecture en sa compagnie. Roman lu dans le cadre du Prix des lecteurs 2024. Merci aux éditions « le livre de poche », pour ce premier et beau roman. https://commelaplume.blogspot.com/"
DOMINIQUE G.
"Quel beau premier roman! L’auteur a su me transporter au cœur de la Vallée des Glaces, et j’ai presque ressenti ce froid glacial qui accompagne la cordée. Les mots sont simples, efficaces mais sans chichis, et c’est tout ce qu’on demande pour cette histoire, presque ce conte, qui nous emmène au Bord du Monde !"
MATHILDE B.
"Coup de cœur de cette fin d’été : Le bord du monde est vertical de Simon Parcot . Roman court et condensé en chapitres brefs , roman ésotérique inspiré de croyances mayas , cet ouvrage de Simon Parcot m’a conquis par cette volonté d’aider le lecteur à s’élever à l’intérieur de lui même mais aussi à mieux appréhender la force indispensable de la littérature et des livres . Gaspard est le chef incontesté d’une cordée qui réunit une femme Yse , trois hommes , Vik , Solal et lui même mais aussi deux chiens pisteurs en tête du groupe . Cette cordée part à l’assaut de la Grande , montagne quasi magique dont on ne connaît ni l’altitude exacte ni à quoi ressemble le sommet . Durant l’ascension la rencontre du Père Salomon viendra éclairer leur chemin . Gaspard s’adresse à Solal et lui dit « Tu vois je ne grimpe pas par goût du risque , je ne grimpe pas par désir de mort , au contraire aller la haut affine ma conscience de la vie . En fait les sommets révèlent par contraste le préciosité de l’existence. » Puis plus loin évoquant la littérature et les livres il écrira : « Les livres sont les tentatives de retrancher quelque chose à la mort , de proposer quelque chose qui lui résiste. » Nous suivrons donc au fil de ces chapitres cette ascension impitoyable vers une verticalité absolue dont chacun peut se résoudre soit de grimper sans savoir où l’altitude sans fin ? le mènera … où se résoudre à la descente vers la douce vallée… ? A chacun son chemin , À chacun ses choix, et merci à Simon Parcot pour nous avoir éveillé à cette Quête d’Absolu en compagnie des héros de son roman . À lire de toute urgence !!!"
JEAN-LUC L.
"Ce récit est celui d'une cordée et de son ascension vertigineuse vers le Bord du monde. C'est aussi et surtout une métaphore de la quête de sens qui anime chaque être. C'est un roman court, puissant et poétique, qui ancre les pieds de son lecteur sur terre tout en le faisant se questionner sur l'impalpable. Un bel écrit indéniablement."
CELINE G.
"Un roman court, poétique et envoutant, allégorie sur la quête existentielle qui consiste à atteindre le but que l'on se fixe."
CHRISTOPHE H.
""Le Bord du Monde est Vertical" de Simon Parcot est une quête initiatique poétique et introspective. À travers des personnages captivants et des paysages grandioses, ce récit métaphorique explore la beauté de l'inaccessible et les profondeurs de l'âme humaine."
ADRIEN R.
"Malgré des personnages peu suffisamment creusés à mon goût, ce teste est une grande beauté. L'écriture poétique de l'auteur se mêle à l'ascension extraordinaire de la cordée et à ce soupçon mystique, ajouté juste ce qu'il faut pour ne pas sombrer dans une lecture ésotérique voire religieuse."
VIRGINIE D.
"Une lecture ascensionnelle. On démarre en douceur premiers pas dans la neige. Puis il fait froid dans la pièce on y est. La cordée on l’a bien en tête. Les portraits brossés avec talent on visualise tout : les tempéraments, les forces, les faiblesses et la vague intention de ce groupe d’humains mené par un Gaspard qu’on soupçonne vite différent. De belles descriptions un savoir-faire dans le cadrage spatio-temporel. Il y a deux chiens aussi. Mais ça c’est un détail. Trois hommes une femme. Le quatuor grimpe plutôt bien. Ils avancent mais le géant de roche ne recule pas : très vite les montagnards paraissent bien petits face à l’immensité de leur défi. Nous on y croit on espère de toute façon on les suit l’écriture a réussi. A propos dudit défi on attend d’en savoir plus. Quelle est cette quête ? Atteindre un sommet infini : on s’interroge mais les hypothèses fusent. Y’a une carte au début du livre. Bonne idée. On avance par étapes. C’est organisé comme affaire. L’auteur sait faire il ne nous perd pas. On est dans le groupe. Des pauses et des rencontre, un peu d’amour dans l’air aussi puis le père Salomon ce personnage c’est quelqu’un quand même. Après, tout devient sérieux. Très sérieux. Tellement que le réel s’arrête là on ouvre les portes du symbolique l’univers devient quasi mystique tandis que Gaspard et Solal se font happer par l’irrésistible appel des sommets. Le bord du monde est vertical on n’en doute plus un instant. Entre inquiétude et fascination, de l’un à l’autre, du plus jeune au chevronné. On a notre petit idée sur ce que cherche Gaspard. Évidemment, l’intérêt du livre c’est justement de découvrir s’il trouve ce qu’il espère."
DAVID M.
"Un récit poético-philosophique qui nous transporte dans des contrées reculées et difficilement accessibles. Entre paysages enivrants et quête mystique, l'ascension de la Grande, cette montagne qui ne connaît pas de limite, nous rappelle que la puissance de la vie se ressent aussi dans sa fragilité."
CHARLOTTE G.
"Étant une amoureuse de la montagne et de la nature, je ne pouvais que voter pour ce roman! Quelle belle quête initiatique, enrichissante et vertigineuse. Les descriptions de la nature sont très belles, voire poétiques. J'ai vraiment ressenti l'immensité de la nature et la petitesse de l'Homme. C'est également le récit d'un groupe d'alpiniste qui ensemble font cette ascension dans une ambiance quasi mystique et une réflexion philosophique de la vie."
CHLOE R.
"« Le bord du monde est vertical »nous entraîne dans une expédition hors du temps et de tout lieu géographique. Dans cette expédition entre chiens de traineaux et hommes de charge, il n’y a que le silence, les conditions météorologiques extrêmes et surtout ce besoin de se surpasser pour affronter la nature. Gaspard, chef de cordée voudrait explorer ses limites, celles de sa cordée et les entraîne dans une quête, un but inaccessible. Après avoir écouté le sermon du Père Salomon, malgré la tempête de neige, la jeunesse de Solal et le manque d’expérience, l’homme convainc la jeune recrue de le suivre sur les plus sommets. Simon Parcot nous entraîne dans un parcours onirique entre légende et message philosophique. Il pousse le lecteur à réfléchir sur son propre besoin de se dépasser. Sur ces leurres, sur cette ivresse qui guident certains les poussent à aller au-delà de leur propre limite. Les chants, les poèmes sont autant de voix séductrices. Ce philosophe nous invite à cette expédition dans la vallée de la glace, où la place de l’Homme n’est pas vraiment définie et nous laisse libre de choisir en la réalité du sommet à atteindre ou au challenge sur soi-même. L’amitié, la foi, la ténacité sont autant de thèmes abordés par petites touches. Ce roman, poignant, poétique écrit avec beaucoup de sensibilité se rapproche d’une quête existentielle demande à être apprivoisé pour en appécié chacune des facettes."
ANNE D.
"Gaspard est le chef d’une équipe renommée et expérimentée appelée la Cordée. Gaspard a une idée en tête qui dépasse l’objectif des missions de routines habituels et va emmener ses collègues dans une aventure toute différente. À la fois récit de voyage et conte, cette aventure emmène le lecteur qui se sent transporté dans la beauté des descriptions des cimes de cette montagne inconnue. Le récit est parsemé de chants et de pensées philosophiques se mariant adéquatement avec les paysages décrits. D’une toute beauté !"
CHARLES M.
"Très beau voyage au cœur des montagnes"
LAETITIA V.
"Pffiouuu! Quelle aventure! Quels personnages!"
BASTIEN D.
"Dans ce récit captivant, l'auteur nous entraîne dans un paysage où l'altitude et l'incertitude se mêlent. L'histoire suit un homme, passionné par l'alpinisme, qui part à la conquête d'une paroi inexplorée. Mais au fil de l'ascension, on réalise que ce n'est pas seulement une montagne qu'il escalade, mais également les abîmes de son propre être. La nature brute, parfois hostile, devient alors le miroir de ses doutes, de ses peurs, mais aussi de son désir profond de liberté. Simon Parcot a une plume à la fois précise et poétique. Il parvient à décrire avec justesse les paysages, les sensations physiques, mais surtout les émotions qui bouleversent son personnage principal. La verticalité du monde n’est pas seulement celle de la montagne, mais aussi celle des sentiments : elle nous pousse à nous élever, à faire face à nos failles, à trouver un sens dans l’inconnu. Le bord du monde est vertical est bien plus qu'une simple aventure en haute montagne. C’est une plongée poétique et introspective dans l'univers de la quête de soi, un voyage entre ciel et terre où les sommets deviennent les reflets des états d'âme."
FLORA V.
"Un magnifique roman initiatique ! Je l'ai dévoré"
MARINA F.
"Une lecture intéressante sur un milieu pas forcément très connu. Une découverte agréable"
ÉDOUARD M.
"Simon Parcot amène le lecteur avec Le Bord du Monde est Vertical dans une exploration poétique et métaphorique des thèmes de la nature, l’isolement et les limites de l’expérience humaine où les protagonistes se confrontent à des paysages naturels vastes et vertigineux dans une quête intérieure philosophique et existentielle. L’auteur nous transporte dans une atmosphère onirique à travers une écriture lyrique et une narration linéaire toute en élégance pleinement immersive. Un moment de paix et de réflexion à ne pas laisser passer!"
IOANA J.