"Le roman se distingue par son ton unique mêlant humour, émotion et une touche de folie. J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire l'intrigue était un peu loufoque et les évènements parfois exagérés. Cependant, j'en garde une belle lecture estivale, légère mais porteuse de sens comme on adore !!!!"

EMELINE T.

"Ce livre est une bouffée de fraîcheur : De l'humour, des personnages plus complexes qu'il n'y paraît, un récit trublion, des anecdotes amusantes, le tout éclairant une histoire familiale peu conventionnelle. Lisez quelques pages, vous ne le lâcherez plus !"

BRIGITTE M.

"Et si faire son deuil, c'était partir en bus vers Mars ? Il est des livres qui ne cherchent pas à changer le monde, mais qui parviennent à bouleverser un petit quelque chose en nous. Les jours mauves, premier roman de Kalindi Ramphul, est de ceux-là : une histoire à la fois fantasque et mélancolique, où le deuil devient le moteur d’un voyage profondément humain – au sens le plus tendre, le plus drôle et parfois le plus bancal du terme. Voilà partie Indira, narratrice et fille écorchée, accompagnée d’une bande improbable dans un road-trip en autocar pour accomplir la dernière volonté de son père. Sous ses airs de comédie grinçante, Les jours mauves est traversé par des questions lourdes de sens : que faire de nos morts ? Que faire de ce qu’ils ont été – ou pas été – pour nous ? Indira n’a pas grandi dans l’amour d’un père exemplaire. Au contraire, elle traîne des rancunes, des silences et des absences qui la rongent. Et c’est dans ce périple improvisé qu’elle commence à le découvrir à travers les yeux des autres. Le roman explore aussi l’identité – familiale, culturelle, sexuelle – avec justesse et contradictions : entre colère et tendresse, rejet et amour, éclats de rire et mélancolie. @kalramphul possède une voix moderne. Une vraie. Ça fuse, ça claque, ça pleure aussi. Son écriture est gonflée d’énergie, traversée par un humour qui fait mouche, mais sait aussi se taire quand il le faut. Les dialogues sont ciselés, les portraits détonants. Alors, direction Mars, pour ce road-trip déjanté !"

ANNE F.

"Les jours mauves c'est une folle aventure ! Certainement celle du cycle de la vie : - l'enfance et ses origines - la relation avec ses parents - les peines de cœur et la sexualité - les rires, les amis - la vie professionnelle - la perte d'un être cher, le deuil - les questionnements... Toutes ces facettes, sont ici représentées avec Indira, qui pour accepter le deuil de son père, entreprend un périple avec ses acolytes. Mais alors qu'elle pense disperser ses cendres sur Mars, le PMU préfèré de son père, et reprendre le cours de sa vie comme si de rien n'était ... Il lui réserve bien des surprises par-delà notre monde et ses frontières. C'est frais, c'est drôle, c'est juste, il se lit si vite ! On découvre au fur et à mesure l'importance de tous les personnages qui se révèlent sous nos yeux et ceux d'Indira. Bref, Les jours mauves c'est une histoire un peu déjantée et émouvante que j'ai adoré lire !"

JULIE M.

"En lisant ce roman, je m'attendais à tout sauf à ressentir des émotions aussi fortes. Indira nous emmène dans un road trip suite au décès de son père qu'elle trimbale dans une urne un peu particulière quand même. J'ai embarqué dans cet autocar pour un road trip improbable à travers la France, je ne m'attendais pas à rire, pleurer et à réfléchir autant en si peu de pages. Indira, l'héroïne, vient de perdre son père. C'est drôle de lire ce roman à la date d'anniversaire de l'enterrement de mon papa. Et pour honorer sa dernière volonté, Indira doit disperser ses cendres sur “Mars” elle embarque famille et amis dans une expédition vers Superbagnères, dans les Pyrénées. Sauf que “Mars”, ce n'est pas la planète, mais un PMU au sommet d'une montagne. Me voilà embarqué dans cette histoire remplie d'émotion. Ce que j'ai adoré, c'est la manière dont l'autrice mêle humour et mélancolie. On rit des situations rocambolesques (mention spéciale au bocal à anchois qui remplace l'urne funéraire), mais j'ai ressenti aussi le poids du non-dit, des regrets, et de l'amour filial. Indira découvre son père au travers des regards des autres. C'est un roman qui parle de deuil sans pathos, de famille sans clichés, et d'amitié avec une tendresse rare. J'ai refermé le livre avec le coeur au bord des larmes et l'envie de dire à mes proches que je les aime."

SOPHIE L.

"Dans ce roman, Kalindi Ramphul raconte avec légèreté et émotion une aventure où le deuil devient un périple humain, à la fois drôle, touchant et parfois un peu chaotique. Indira, la narratrice, accompagne une troupe hétéroclite pour réaliser la dernière demande de son père. Au fil du trajet, elle découvre un homme plus complexe que celui qu’elle croyait connaître, à travers les récits et souvenirs des autres passagers. Cette histoire, sous des airs parfois cocasses, soulève des questions profondes sur la place des absents dans nos vies et sur les liens familiaux souvent fragiles et contradictoires. Kalindi Ramphul adopte un style direct, énergique et plein d’humour, qui sait aussi se faire délicat et introspectif. Son récit mêle avec justesse mélancolie et légèreté, offrant une lecture à la fois sincère et vivante. Une très bonne lecture !"

MEGANE H.

"Mon coup de coeur de juillet, dévoré avec grand plaisir. C'est La lecture parfaite pour les après midi d'été. Humour, tendresse, sensibilité, ce road trip improvisé sans prétention à tout d'une rom com britannique. Tout au long du récit je n'ai eu de cesse de l'imaginer porté à l'écran."

STEPHANIE P.

"Les jours mauves c'est un livre court au sujet principal triste mais traité avec humour. Le lecteur et la narratrice découvre le père de cette dernière au gré des pages et des récits faits par des protagonistes touchants. Le ton n'y est pas léger mais il y a ce qu'il faut d'originalité et de "drôle" pour ne pas tomber dans la tristesse et tourner les pages avec plaisir. Finalement, ce roman qui parle d'un décès, c'est un roman sur la vie. Une vie riche de rencontres, de secrets, d'aventures simples mais belles."

ALEXIA B.

"Un premier roman à la fois frais et sensible, vif et touchant, qui se lit d'une traite, à 100 à l'heure, comme les aventures des personnages. Kalindi Ramphul nous entraîne avec elle dans son univers décapant et sincère, avec beaucoup d'humour et de tendresse. A découvrir sans tarder !"

ETIENNE T.

"Les jours mauves : J'ai adoré ce livre d'une spontanéité toute particulière avec ses moments d'émotion, de tendresse mais aussi d'humour et de surprises. L' écriture enlevée et des personnages attachants et truculents m'ont absolument séduite. La perte d'un proche et les sentiments qui en découlent sont abordés de façon originale et il en ressort une forme d'apaisement. Un régal et un coup de cœur!"

CATHERINE C.

"Ce livre m’a prise par surprise. Au départ, je m’attendais à un récit classique sur le deuil mais c’est bien plus que ça. C’est une redécouverte du père, dans toute sa complexité : pas juste une figure paternelle, mais un homme, avec ses contradictions et ses faiblesses J’ai adoré le ton de Kalindi Ramphul, son humour sans filtre, parfois grinçant. Elle ose dire les choses franchement, sans fard. On passe du rire aux larmes sans prévenir, et cette fin, si douce et bouleversante, m’a profondément touchée parce qu’elle parle de l’amour, du manque, de ce qu’on ne s’est pas dit à temps mais sans jamais tomber dans le pathos."

MONA J.

"J'ai voté ce mois-ci pour "Les jours mauves" de Kalindi Ramphul. Le sens de l'humour est rare et difficile en littérature. Il n'y a pas toutes ces subtilités du langage oral - intonation, gestes, silences... - pour créer des effets. Là, plusieurs fois, je me suis surpris à sourire et même rire face à cette manière incisive et percutante de disséquer les personnages. C'est comme si l'autrice le faisait au scalpel, sans anesthésie, comme pour mieux les faire réagir. Et pas n'importe quels personnages, tous semblant sortir d'un parc d'attraction pour décalés de la vie. C'est ce mélange des genres qui m'a plu. J'ai eu l'image d'une "Pizza hawaïenne" au fur et à mesure de la lecture. D'un côté ce goût salé avec un style cash, un esprit caustique, une écriture nerveuse, un sens de l'autodérision et de l'autre ce goût sucré avec du dévoilement intime, l'aveu de certaines vulnérabilités, des prises de conscience, l'approche de sujets sérieux comme la mort, l'adultère, la maladie, la désillusion amoureuse, l'abus, le racisme, l'orientation sexuelle... L'histoire est simple. Indira organise un voyage en bus avec les amis de son père pour apporter ses cendres sur Mars. Pas la planète, mais un PMU à Superbagnères au sommet des Pyrénées. La destination compte peu. C'est le trajet. Au fur et à mesure du parcours le voile va se lever sur tous les secrets bien gardés des protagonistes. En premier lieu ceux du père de l'héroïne. Le ton se fait alors moins ironique et plus sensible comme si les défenses d'Indira tombaient face à la vérité. On peut reprocher à ce premier roman un rythme qui parfois s'essouffle et une simplicité dans la construction, mais le principal est ailleurs. La trame est plus un prétexte pour digresser à travers des flash-backs, révélations, descriptions... Ces aller-retours apportent des couleurs au récit et de la nuance aux personnages en les rendant plus touchants, derrière l'excentricité de la plupart se cachant souvent des blessures ou contraintes inavouées. Au final, un cheminement sur un fil de crête combinant légèreté et profondeur avec une verve originale. Bref le livre parfait pour cet été ! Merci Le Livre de poche :)"

ARNAUD M.

"Que sait-on vraiment de ses parents ? Quelles histoires se cachent derrière leurs silences, leurs regards ? Et que faire quand il est trop tard pour poser les questions qui nous hantent ? Ce sont les interrogations auxquelles Indira, la protagoniste du roman Les jours mauves, doit faire face après le décès de son père. Pour honorer sa mémoire, elle entreprend un voyage chargé d’émotions afin de réaliser le dernier vœu de son père. Guidée par les souvenirs, les confidences et les silences de ceux qui ont partagé la vie de son père, Indira redécouvre un homme qu’elle pensait pourtant connaître. Au fil du trajet, la distance entre eux s’efface. Ce dernier adieu devient alors une première véritable rencontre. "Les jours mauves" explore avec délicatesse la transmission, la quête de sens et la force des liens invisibles. Ce roman rappelle que la vie prend tout son sens à travers ceux qui la partagent avec nous. Et pour les enfants uniques, cela vaut peut-être encore plus. Un livre émouvant et profond, qui nous invite à écouter avant qu’il ne soit trop tard, et à aimer avec curiosité."

MAXIM B.

"Les jours mauves est un roman délicat et singulier, qui aborde le deuil non pas comme une fin, mais comme un point de départ vers une redécouverte. A la mort de son père, une femme revient sur ses traces, persuadée de le connaitre intimement. Pourtant durant ce voyage pour rendre hommage a son père, au fil des rencontres avec celles et ceux qui l'ont côtoyé, une autre image de lui émerge, plus nuancée, plus libre, parfois déroutante. Ce père, qu'elle croyait maîtriser dans le cadre figé de ses souvenirs, se révèle dans toute la complexité de ses contradictions, de ses silences, de ses parts d'ombre. Ce que j'ai particulièrement aimé dans ce roman, c'est le ton doucement décalé des personnages, presque en apesanteur, comme s'ils habitaient un monde parallèle, un peu flou, un peu violet, à l'image du titre. Chacun d'eux apporte un regard inattendu, une anecdote étrange ou lumineuse, c'est par ce prisme que le portrait du père se recompose, fragment par fragment. J'ai été touchée par cette idée que l'on ne connait jamais vraiment ceux qu'on aime, que leur vérité ne nous appartient pas entièrement et que l'on peut encore apprendre à les aimer autrement, même après leur départ."

VANESSA T.

"Un road trip - pèlerinage qui se termine en dernière étape de montagne digne du Tour du France, une équipe tout autant hétérogène qu'hétéroclite, et enfin une trentenaire qui re-découvre son père au fil des kilomètres. C'est un roman qui bouscule et, interroge mais surtout qui nous donne une bonne occasion de se poser la question : qui serait prêt à prendre la route à mes funérailles et aller jusqu'à Mars ? L'écriture de Kalindi Ramphul est jouissive, toujours à la limite, ironique et surtout acerbe dans un cocon tout autant attendrissant. C'est un vrai bol d'air et une pause bien méritée."

SOPHIE-ANNE P.

"Beau et original roman où, au-delà de la légèreté du style et de la narration, on découvre une histoire entre une fille et son père, quand l'amour et le dialogue n'ont pas toujours été présents."

ERIC C.

"Ce roman est une jolie surprise. Les jours mauves raconte le voyage improbable d’Indira, une jeune femme qui, après la mort de son père, décide de respecter sa dernière volonté… l’envoyer "sur Mars". Mais pas la planète — un PMU perché dans les Pyrénées. Ce qui suit, c’est un road trip loufoque avec une bande de personnages tous plus attachants les uns que les autres. Dans l’autocar, il y a des amis, des inconnus, de la famille — chacun avec ses secrets, ses blessures et ses folies. Au fil des kilomètres, les souvenirs remontent, les langues se délient, et Indira redécouvre son père, autrement. Le ton est drôle, parfois un peu grinçant, mais toujours tendre. On rit, on est touché, on pense à nos propres histoires de famille. C’est un roman qui parle de deuil, d’amour et de liens — sans jamais se prendre trop au sérieux. Un premier livre plein de charme, à lire d’une traite ou par petites touches, comme les jours mauves qu’il évoque si bien."

MERIEM B.

"Ce livre est une petite pépite, un peu foutraque, certainement pas parfaite mais finalement très attachante et rafraichissante. Il y a de tout dans cette aventure: un père aimé, une expédition menée par sa fille pour disperser ses cendres sur Mars (un bar PMU des Pyrénées), un car loué contenant, dans le plus parfait désordre, son ex-femme et ses amis plus ou moins récents et tous plus déjantés les uns que les autres, et au final un road-trip à la découverte de ce père aux secrets bien gardés. Une lecture décalée sur la relation père-fille, la difficulté de s'intégrer dans une autre culture, la peur du regard des autres, la nostalgie de l'enfance, tout cela dans un roman, court, dense et plein d'amour. A lire sur la plage en pensant à son papa!"

KARIN T.

"Acide, drôle, rafraichissant ! Un périple que l'on est heureux de suivre et dans lequel on aimerait se retrouver pour partager leurs aventures !"

KEVIN H.

"Un road trip en autocar savoureux et joyeux, qui rend le deuil lumineux et en fait une aventure vers soi même."

HELENE F.

"Ce livre nous entraîne dans un périple émouvant mais non pas dénué de quelques notes d'humour, sur un sujet pouvant être dur. L'auteure réussis à habilement manier les mots pour nous entraîner avec ses personnages dans toutes les émotions qu'ils traversent lors de cette pérégrination."

ARMELLE D.

"Une écriture à la fois incisive, drôle, émouvante et lumineuse, mais également sans tabou, pour raconter la relation père/fille à la manière d'un road trip. Une épopée qui nous emmène à la découverte d'un père émotionnellement inconnu avec ses failles et ses secrets et qui nous enseigne d'accepter l'autre dans toute son imperfection. Un premier roman révélateur et prometteur emprunt d'émotions."

ANGELIQUE D.

"L’idée improbable du livre : à la suite du décès de son père, Indira nous embarque sur les routes de France pour répandre les cendres de Suraj, un peu comme si nous aussi, les lectrices et lecteurs, on faisait partie de ce cortège étrange. Au fil des pages, Indira refait connaissance avec les uns et les autres. Et tous, ils ont quelque chose à raconter sur Suraj, son père. Des anecdotes et des révélations qui vont à contre-courant de ce qu’elle croyait connaître sur cet homme, mais qui avait aussi une existence à lui dans laquelle sa fille n’a pas pris sa place. La raison pour laquelle j’ai trouvé que ce livre était très émouvant, c’est que ce n’est pas un énième roman sur les secrets de famille. Le sujet du livre, c’est plutôt : les croyances que les enfants ont sur leurs parents et à quel point on peut être loin du compte. Les parents sont comme tout un chacun des individus avec une identité propre et Indira grandit au fil de ces révélations et se rapproche de sa mère. J'ai adoré ce road trip où tout peut arriver y compris une séance de Yoga sur un toit de Bus. Et pour l'anecdote j'ai bu une bière glacée 😅."

GUYLAINE G.

"Les jours mauves Au début de ce roman, je l’ai lu sans grand enthousiasme et puis au fil des pages j’ai commencé à apprécier les personnages tous un peu loufoque et je me suis laissée embarquer dans ce road trip funèbre avec toutes ces péripéties. Certains passages m’ont beaucoup fait rire. Ce n’est pas un roman que je relierai mais j’ai apprécié ma lecture."

SABRINA D.

"Un livre frais et rempli d'humour ! J'ai adoré suivre Indira et toute la bande des copains de son père dans ce road trip étonnant. Tout est à la fois étonnant et bien mené, c'est une histoire que j'aimerais bien voir au cinéma car je pense que cela s'y prêterait bien"

CHLOE F.